Ressources produites par des stagiaires Québec sans frontières

Cette capsule audio présente un exemple d’organisation collective initiée par le projet Taratra auprès de communautés touchées par les activités d’exploration et d’exploitation minières dans le centre-est de Madagascar. À travers celle-ci, les stagiaires souhaitent sensibiliser chaque individu quant à son pouvoir d’action et l’inviter à se mobiliser afin d’agir pour une cause qui le touche. C’est l’espoir de l’action collective pour plus d’égalité, de justice, de liberté et de solidarité.

Cette capsule s’intègre à une activité pour les milieux scolaires qui traite, en mots, en sons et en images, de la question des déchets, de l’accès à l’eau potable, de la violence conjugale et d’autres enjeux qui, comme l’ont constaté les stagiaires, peuvent être abordés à Madagascar comme au Québec sous l’angle de l’action collective. C’est l’espoir de l’action collective pour plus d’égalité, de justice, de liberté et de solidarité.

Portrait de la Commission de défense communautaire (CODECO), organisme de revendication qui travaille en association avec le Service de la paix et de la justice au Paraguay (SERPAJ-PY).

Chaque semaine, la commission se réunit afin de parler de différentes problématiques vécues par les familles et donner de l’information aux habitants afin qu’ils puissent se prendre en main. Participation active, démocratie, solidarité, indépendance, autonomie et justice sont au nombre des valeurs et créneaux que cette commission désire mettre de l’avant.

(En espagnol seulement)

Léoncie a un rêve : offrir aux enfants handicapés une école adaptée à leurs besoins. Armée de courage et de persévérance, elle parvient à convaincre le gouvernement de participer à son projet et la première école rwandaise pour enfants handicapés voit le jour.

Cette vidéo traite du problème d'accès à l'eau potable que rencontrent les habitants des pueblos jóvenes (bidonvilles) d'Arequipa, la deuxième plus grande ville du Pérou. Elle présente le cas des habitants du district de Miraflores qui sont en lutte constante pour obtenir l'accès à l'eau courante et le développement d'un service d'égouts. L'eau est rare et très coûteuse pour ces familles qui ne gagnent en moyenne qu'un dollar par jour. Le Rio Chili est la principale source d'eau de la ville, mais l'eau y est contaminée en raison du déversement direct des eaux usées. Ainsi, comme les habitants utilisent cette eau à des fins personnelles et agricoles, on constate beaucoup de problèmes de santé chez les enfants et les adultes.