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Nouvelles de nos partenaires

Notre réponse au typhon Saola aux Philippines

23 janvier 2013
par 
Geneviève Talbot, chargée de programmes internationaux
En août 2012, le typhon Saola (aussi connu comme Gener) et des pluies diluviennes frappaient durement le nord des Philippines, particulièrement la capitale, Manille, et ses alentours. Inondations, populations déplacées et crainte que l’eau ne prenne des mois à se retirer, comme après le passage du typhon Ondoy (Ketsana) en 2009, ont motivé les partenaires de Développement et Paix à réagir promptement.
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Au Mali, des centaines de milliers de personnes menacées par les affrontements

16 janvier 2013
par 
Khoudia Ndiaye, agente de communications
De nouveaux réfugiés maliens au Niger attendent d’être enregistrés et de recevoir les premières rations d’aliments. Photo : Ryan Worms/Caritas Internationalis

La situation difficile qui affecte actuellement des milliers de Maliens n’aura échappée à personne. L’intervention militaire française, si elle apparaît soutenue par la grande majorité des Maliens, risque de rendre davantage précaire la situation humanitaire de la population et particulièrement celle au Nord. L’instauration de l’état d’urgence par le président Dioncounda Traoré affecte d’autant plus les 200 000 personnes vivant encore dans cette région : «  J’ai une crainte pour la population du Nord aujourd’hui. On sait que cette population vit de manière précaire.

Haïti : « On peut être fier de ce qui a été fait jusqu’à présent. »

14 janvier 2013
par 
Khoudia Ndiaye, agente de communications

Entretien avec Jean-Claude Jean, responsable du bureau de Développement et Paix en Haïti. Il est chargé de la supervision du programme de reconstruction et du suivi des projets.

Trois ans après le séisme, quel est le contexte en Haïti ? Peut-on considérer que l’urgence est définitivement derrière nous ?

On peut constater aujourd’hui que les choses ont évolué en Haïti et notamment à Port-au-Prince. Ne serait-ce que l’absence dans les rues des tonnes de gravats et de débris suite au séisme.

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La Bolivie devient le quatrième État à ratifier le nouveau traité international sur les travailleuses et travailleurs domestiques

5 décembre 2012
par 
Mary Durran, chargée de programmes pour l'Amérique latine
La plupart des travailleuses domestiques de la Bolivie, qui ont tout à gagner du nouveau traité, sont des femmes autochtones.

Le 20 novembre 2012, la Bolivie est devenue le quatrième État à ratifier formellement la nouvelle Convention n° 189 de l'Organisation internationale du Travail (OIT) sur le travail décent pour les travailleuses et travailleurs domestiques. Adoptée par l'OIT le 16 Juin 2011, la Convention n° 189 a été célébrée par les travailleuses et travailleurs à travers le monde comme le symbole d’un véritable changement dans la vie d'au moins 100 millions de travailleuses et travailleurs dans le monde.

La Fédération nationale des travailleuses domestiques de Bolivie réalise des progrès importants en matière de respect des droits et de la dignité

19 octobre 2012
par 
Mary Durran, chargée de programmes pour l'Amérique latine

Ces femmes sont parties de très loin. Aussi bien au sens littéral qu'au sens figuré. Diana Garcia, âgée de 19 ans et membre de l’équipe de direction de la FENATRAHOB, a commencé à travailler dès l’âge de 12 ans comme bonne dans une région très isolée de la Bolivie, le département de Pando en Amazonie bolivienne. Aujourd’hui, Diana étudie le droit à l’Université de Bolivie.

Hommage à une vie vouée à la justice sociale

18 octobre 2012
par 
Anne Catherine Kennedy, chargée de programmes pour le Brésil et Kelly Di Domenico, agente de communications

Le 20 octobre, la Commission pastorale de la terre (CPT) , partenaire de Développement et Paix au Brésil, rendra hommage à Dom Tomás Balduino.

Cerro de Pasco: une ville engloutie par une mine

15 octobre 2012
par 
Mary Durran, Chargée de programmes Amérique latine
Lac pollué par une mine à Cerro de Pasco, Pérou

Un écriteau à l’entrée de la ville de Cerro de Pasco indique : « Bienvenue à Cerro de Pasco, la ville la plus haute du monde ».

Cette ville de 299 000 habitants, située à 4 380 m d’altitude, est certainement la ville la plus haute du Pérou mais aussi l’une des plus austères et inhospitalières du monde. Il y règne un froid humide qui pénètre jusqu’aux os; il y tombe régulièrement une pluie glaciale et de la neige fondante, et une bonne partie de la population souffre de maladies respiratoires, comme la pneumonie.

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Un partenaire de Développement et Paix est nommé au Conseil pontifical pour la Justice et la Paix

12 octobre 2012
par 
Kelly Di Domenico, Agente de communications
Monseigneur Barreto

Mgr Pedro Barreto Jimeno Ricardo, Archevêque de Huancayo, au Pérou, a été nommé par le Pape au Conseil Pontifical Justice et Paix au Vatican. Mgr Barreto est le président du Département de la Justice et de la Solidarité du Conseil épiscopal latino-américain (CELAM) et vice-président de la Commission épiscopale pour l’action sociale (CEAS) des évêques, une organisation soutenue par Développement et Paix.

Constater les effets de l'exploitation minière au Pérou

11 octobre 2012
par 
Mary Durran, Chargée de programmes Amérique latine

La route de Lima à Huancayo, dans les montagnes centrales du Pérou, est une route poussiéreuse et striée de graffitis qui monte, d'abord doucement, hors de la ville de Lima grise et brumeuse. La route est flanquée de quartiers pauvres, où les maisons aux couleurs pastelles sont délabrées, dangereusement perchées à flanc de montagne, faisant face à une autoroute à quatre voies.

De nombreuses communautés touchées par l'exploitation minière au Pérou

5 octobre 2012
par 
Mary, Durran, Chargée de programmes Amérique latine

J’ai quitté le pays hier pour me rendre en Amérique du Sud où je participerai à un atelier organisé par la CIDSE, le Réseau canadien sur la reddition de comptes des entreprises (RCRCE) et un certain nombre d'organisations de la société civile latino-américaines sur la manière dont les sociétés transnationales peuvent faire preuve de plus grande diligence raisonnable envers les droits humains - c'est-à-dire s’assurer que leurs activités ne violent pas les droits de l’homme et ne briment pas les communautés locales.