More than a decade after a horrifying civil war ravaged Sierra Leone from 1991 to 2002, leading to the death of 120,000 people and the mutilation of thousands of civilians, this small country in Western Africa of 6.3 million people, is courageously rebuilding itself. Since peace accords were signed in 2002, there have been two presidential elections, in 2007 and in 2012, and successive governments have put in place a variety of policies, programs, initiatives and reforms in several sectors in an attempt to meet the challenges facing the country.
Raphael Yimga Tatchi, chargé de programmes pour l'Afrique
Plus d’une décennie après une horrible guerre civile qui a ravagé le pays de 1991 à 2002, faisant état de 120 000 morts et de milliers de civils mutilés, la Sierra Leone, petit pays d’Afrique de l’Ouest, qui compte 6,3 millions d’habitants, se reconstruit courageusement. Depuis les accords de paix signés en 2002, deux élections présidentielles ont eu lieu en 2007 puis en 2012, et les gouvernements successifs multiplient politiques, programmes, initiatives et réformes dans différents secteurs pour relever les nombreux défis.
Who knew that a cookie could teach so much! This year, as part of our campaign A Voice for Justice calling for an ombudsman for responsible mining, we gave students the opportunity to understand the realities faced by communities in the Global South when a mining company doesn’t respect their rights. How? By mining cookies!
Qui aurait cru qu’un simple biscuit puisse être si riche de savoir ! Cette année, dans le cadre de notre campagne Une voix pour la justice qui vise la création d’un poste d’ombudsman pour responsabiliser l’industrie extractive, des élèves ont eu l’occasion d’explorer les réalités vécues par les collectivités des pays du Sud dont les droits sont bafoués par les sociétés minières. Comment ? En exploitant une mine de biscuits !
Mary Durran, Chargée de programmes Amérique latine
La route de Lima à Huancayo, dans les montagnes centrales du Pérou, est une route poussiéreuse et striée de graffitis qui monte, d'abord doucement, hors de la ville de Lima grise et brumeuse. La route est flanquée de quartiers pauvres, où les maisons aux couleurs pastelles sont délabrées, dangereusement perchées à flanc de montagne, faisant face à une autoroute à quatre voies.
Guy Des Aulniers, chargé de programme pour les secours d'urgence
Les affrontements qui ont éclaté au Nord Kivu entre des partisans du Général Bosco Ntaganda et les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) au lendemain de l’annonce par le gouvernement de la RDC de son intention de juger le Général Bosco ont provoqué le déplacement massif des populations. Des dizaines de milliers de personnes ont été contraintes de se réfugier soit dans d’autres villages à l’intérieur du Nord Kivu, soit au Rwanda.
Jean-Paul St-Germain, animateur pour les régions de Montréal, St-Jérôme et Trois-Rivières
Dimanche dernier avait lieu à Montréal un grand rassemblement pour le bien commun. Cette initiative était soutenue par des artistes, des environnementalistes, des citoyens et des organisations. Tous avaient à cœur le bien commun, le partage de la richesse, le respect des droits de tous les citoyens et de l’environnement.
Guy Des Aulniers, chargé de programme pour les secours d'urgence
La journaliste belge Colette Breackman a fait référence sur son blogue a une initiative originale, les « comités de gouvernance des ressources naturelles », dont Adisco (Burundi) et Diobass (Kivu – RDC) sont à l’orgine. Créés dans les villages, ces comités composés de volontaires, étudient les principaux problèmes qui se posent à leur environnement...